Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité
UNE ASSOCIATION À VOTRE SERVICE
Depuis 1980, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité milite pour qu’une loi d’ultime liberté permette à chacun, en conscience et pour lui seul, de choisir les conditions de sa fin de vie :
- • euthanasie ou suicide assisté,
- • accès universel aux soins palliatifs, pour…
UNE ASSOCIATION À VOTRE SERVICE
Depuis 1980, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité milite pour qu’une loi d’ultime liberté permette à chacun, en conscience et pour lui seul, de choisir les conditions de sa fin de vie :
- • euthanasie ou suicide assisté,
- • accès universel aux soins palliatifs, pour 100% des Françaises et des Français,
- • soulagement de la souffrance dans le respect de celui qui veut aller jusqu’au bout de sa maladie
Aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, dans plusieurs états des Etats Unis d’Amérique, dans plusieurs états d'Australie, au Canada, en Colombie, une telle loi existe déjà. Les observatoires de fin de vie et la justice veillent à la bonne application de ces lois et à l’absence de dérive. Pourquoi ce qui est possible dans ces démocraties serait-il impossible en France ? Comme 96% des Français, nous affirmons qu’une telle législation est nécessaire.
Pourtant, la loi du 2 février 2016 ne permet toujours pas de mourir dans la dignité, selon son désir. Pourquoi ? Chaque année qui passe sans cette loi d’humanité nous condamne, ainsi que ceux que nous aimons, à des agonies parfois atroces. Il est temps d’agir en citoyen.
Forte de près de 75000 adhérents, l’ADMD agit auprès des pouvoirs publics pour que la législation française évolue vers une meilleure prise en charge de la fin de vie, qu’elle autorise enfin ceux qui le souhaitent à bénéficier d’une euthanasie ou d’un suicide assisté. Adhérer à l’ADMD permet également de mieux garantir votre parcours de fin de vie.
• Lors de votre adhésion, vous recevez un formulaire pré-imprimé de directives anticipées et de désignation de vos personnes de confiance, à remplir, ainsi qu’un fascicule intitulé «Les droits relatifs à la personne malade et à la personne en fin de vie».
• La copie de vos directives anticipées et de votre désignation de personnes de confiance est numérisée par nos soins, archivée dans notre Fichier national des directives anticipées, sécurisée et, le cas échéant, peut être adressée à votre médecin. Dès lors que vous nous en aurez envoyé une copie, vos directives anticipées seront consultables à tout moment sur votre espace personnel auquel vous pourrez vous connecter avec vos identifiants via notre site www.admd.net.
• Un réseau de 120 délégués et leurs délégués adjoints, dont l’un réside près de chez vous, est à votre service ; vous serez accueillis, réunis, informés, par son intermédiaire. Le délégué est le représentant de l’ADMD sur le terrain. Dans certaines délégations, il coordonne l’action d’un groupe de solidarité et d’entraide.
• Une permanence téléphonique, ADMD-Écoute (01 48 00 04 92), avec des bénévoles spécialement formés, est à la disposition de nos adhérents et de leurs personnes de confiance pour les renseigner et les conseiller lorsqu’ils se trouvent dans une situation médicale difficile.
NOUS ALLONS TOUS MOURIR UN JOUR. C’EST UNE ÉVIDENCE QUE NOUS DEVONS ACCEPTER.
96% des Français réclament le droit à l’euthanasie La mort est naturellement une obligation pour tout le monde. Ce que les Français réclament à 96% (sondage Ipsos – mars 2019), ce n’est pas un droit absolu de se donner la mort n’importe quand et pour n’importe quelle raison, c’est la possibilité, lorsque la vie est arrivée à son terme et que la maladie et/ou la grande vieillesse conduisent à la mort, de choisir entre deux façons de mourir : l’une qui leur serait imposée par la famille, les médecins, la religion, et l’autre qu’ils pourraient choisir, librement, lucidement et en conscience. 60 % des médecins, dans un sondage commandé par le Conseil national de l’Ordre des médecins (janvier 2013), sont favorables à l’euthanasie.
Rappelons que le mot «euthanasie» veut dire «bonne mort» en grec. Ce mot ne doit pas faire peur. Il recouvre une réalité comprise par tous. Il est utilisé naturellement par les Néerlandais, les Belges, les Luxembourgeois, sans les effrayer, pour parler de la mort douce. La légalisation de l’aide active à mourir évitera les dérives qui existent aujourd’hui en l’absence d'une loi qui ferait respecter les volontés de chacun. Parce qu’il y a un code de la route, les chauffards et les criminels de la route sont sanctionnés. La loi protège le citoyen. En démocratie, il n’y a rien de mieux... Dans les pays qui ont dépénalisé l’aide active à mourir, on ne note pas de dérives particulières, pas d’exode des personnes âgées qui auraient peur d’être «assassinées». Si une euthanasie devait se produire hors cadre légal, une procédure judiciaire serait immédiatement déclenchée. La Belgique est même l’un des pays où le taux de confiance envers le corps médical est le plus élevé au monde.
Aujourd’hui, en France, tout se déroule dans l’ombre, au bon gré des médecins, comme au temps des avortements clandestins. Selon un rapport de l’Institut national d’études démographiques (INED) de novembre 2012, de nombreux décès sont dus chaque année à l’administration d’un médicament létal. Pourquoi ? Qui sont ces personnes qui ont été euthanasiées ? Qui a pris la décision ? La loi française actuelle entretient cette zone de non droit, quand les lois néerlandaise, belge ou luxembourgeoise organisent ces fins de vie dans la plus grande transparence.
UNE ASSOCIATION À VOTRE SERVICE
Depuis 1980, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité milite pour qu’une loi d’ultime liberté permette à chacun, en conscience et pour lui seul, de choisir les conditions de sa fin de vie :
- • euthanasie ou suicide assisté,
- • accès universel aux soins palliatifs, pour 100% des Françaises et des Français,
- • soulagement de la souffrance dans le respect de celui qui veut aller jusqu’au bout de sa maladie
Aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, dans plusieurs états des Etats Unis d’Amérique, dans plusieurs états d'Australie, au Canada, en Colombie, une telle loi existe déjà. Les observatoires de fin de vie et la justice veillent à la bonne application de ces lois et à l’absence de dérive. Pourquoi ce qui est possible dans ces démocraties serait-il impossible en France ? Comme 96% des Français, nous affirmons qu’une telle législation est nécessaire.
Pourtant, la loi du 2 février 2016 ne permet toujours pas de mourir dans la dignité, selon son désir. Pourquoi ? Chaque année qui passe sans cette loi d’humanité nous condamne, ainsi que ceux que nous aimons, à des agonies parfois atroces. Il est temps d’agir en citoyen.
Forte de près de 75000 adhérents, l’ADMD agit auprès des pouvoirs publics pour que la législation française évolue vers une meilleure prise en charge de la fin de vie, qu’elle autorise enfin ceux qui le souhaitent à bénéficier d’une euthanasie ou d’un suicide assisté. Adhérer à l’ADMD permet également de mieux garantir votre parcours de fin de vie.
• Lors de votre adhésion, vous recevez un formulaire pré-imprimé de directives anticipées et de désignation de vos personnes de confiance, à remplir, ainsi qu’un fascicule intitulé «Les droits relatifs à la personne malade et à la personne en fin de vie».
• La copie de vos directives anticipées et de votre désignation de personnes de confiance est numérisée par nos soins, archivée dans notre Fichier national des directives anticipées, sécurisée et, le cas échéant, peut être adressée à votre médecin. Dès lors que vous nous en aurez envoyé une copie, vos directives anticipées seront consultables à tout moment sur votre espace personnel auquel vous pourrez vous connecter avec vos identifiants via notre site www.admd.net.
• Un réseau de 120 délégués et leurs délégués adjoints, dont l’un réside près de chez vous, est à votre service ; vous serez accueillis, réunis, informés, par son intermédiaire. Le délégué est le représentant de l’ADMD sur le terrain. Dans certaines délégations, il coordonne l’action d’un groupe de solidarité et d’entraide.
• Une permanence téléphonique, ADMD-Écoute (01 48 00 04 92), avec des bénévoles spécialement formés, est à la disposition de nos adhérents et de leurs personnes de confiance pour les renseigner et les conseiller lorsqu’ils se trouvent dans une situation médicale difficile.
NOUS ALLONS TOUS MOURIR UN JOUR. C’EST UNE ÉVIDENCE QUE NOUS DEVONS ACCEPTER.
96% des Français réclament le droit à l’euthanasie La mort est naturellement une obligation pour tout le monde. Ce que les Français réclament à 96% (sondage Ipsos – mars 2019), ce n’est pas un droit absolu de se donner la mort n’importe quand et pour n’importe quelle raison, c’est la possibilité, lorsque la vie est arrivée à son terme et que la maladie et/ou la grande vieillesse conduisent à la mort, de choisir entre deux façons de mourir : l’une qui leur serait imposée par la famille, les médecins, la religion, et l’autre qu’ils pourraient choisir, librement, lucidement et en conscience. 60 % des médecins, dans un sondage commandé par le Conseil national de l’Ordre des médecins (janvier 2013), sont favorables à l’euthanasie.
Rappelons que le mot «euthanasie» veut dire «bonne mort» en grec. Ce mot ne doit pas faire peur. Il recouvre une réalité comprise par tous. Il est utilisé naturellement par les Néerlandais, les Belges, les Luxembourgeois, sans les effrayer, pour parler de la mort douce. La légalisation de l’aide active à mourir évitera les dérives qui existent aujourd’hui en l’absence d'une loi qui ferait respecter les volontés de chacun. Parce qu’il y a un code de la route, les chauffards et les criminels de la route sont sanctionnés. La loi protège le citoyen. En démocratie, il n’y a rien de mieux... Dans les pays qui ont dépénalisé l’aide active à mourir, on ne note pas de dérives particulières, pas d’exode des personnes âgées qui auraient peur d’être «assassinées». Si une euthanasie devait se produire hors cadre légal, une procédure judiciaire serait immédiatement déclenchée. La Belgique est même l’un des pays où le taux de confiance envers le corps médical est le plus élevé au monde.
Aujourd’hui, en France, tout se déroule dans l’ombre, au bon gré des médecins, comme au temps des avortements clandestins. Selon un rapport de l’Institut national d’études démographiques (INED) de novembre 2012, de nombreux décès sont dus chaque année à l’administration d’un médicament létal. Pourquoi ? Qui sont ces personnes qui ont été euthanasiées ? Qui a pris la décision ? La loi française actuelle entretient cette zone de non droit, quand les lois néerlandaise, belge ou luxembourgeoise organisent ces fins de vie dans la plus grande transparence.
Emplacement du stand 585
Salon de discussion
(sans sujet)
Ajouter un commentaire
Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité
Maison pour tous Frédéric Chopin
1 rue du marché aux bestiaux
Montpellier