Aïkido Club Montpellier
L’aïkido est un art martial, dérivé des techniques utilisées sur les champs de bataille, mais la seule bataille que l’on mène, c’est contre soi-même ». Les pratiquants, enfants ou adultes, peuvent s’affirmer sans que cela se fasse au détriment des autres. Car dans l’aïkido, il n’y a pas de compétition, pas de vainqueur ou de perdant, et donc pas d’échec.…
Lire la suiteL’aïkido est un art martial, dérivé des techniques utilisées sur les champs de bataille, mais la seule bataille que l’on mène, c’est contre soi-même ». Les pratiquants, enfants ou adultes, peuvent s’affirmer sans que cela se fasse au détriment des autres. Car dans l’aïkido, il n’y a pas de compétition, pas de vainqueur ou de perdant, et donc pas d’échec. « L’absence de compétition est très adaptée à ceux qui sont soumis en permanence à la concurrence, les enfants à l’école, les adultes dans leur travail. D’ailleurs, les Dan ne sont pas décernés à l’issue de combat où l’un des participants l’emporterait sur l’autre mais uniquement en vue de marquer et officialiser les qualités techniques et mentales du pratiquant. Même chose pour les ceintures de couleur (blanc, jaune, orange, vert, bleu, marron) qui « servent à démontrer à l’aïkidoka, le pratiquant, qu’il progresse plutôt qu’à lui donner un bon point ou à lui montrer qu’il est supérieur aux autres ».
Souvent appelé « art de paix », l’aïkido a cela de particulier que ses techniques visent non pas à détruire ou vaincre l’adversaire mais à faire que son attaque soit vaine, à réduire sa tentative d’agression à néant. « Il doit s’apercevoir de lui-même qu’il est vain d’attaquer ». Tout est donc basé sur le contrôle de soi, de son corps et de son mental, sur le respect du partenaire et sur la discipline. « Nous travaillons pour nous-même mais grâce aux autres, la progression ne se fait pas au détriment de quelqu’un mais avec quelqu’un. »
L’aïkido est un art martial, dérivé des techniques utilisées sur les champs de bataille, mais la seule bataille que l’on mène, c’est contre soi-même ». Les pratiquants, enfants ou adultes, peuvent s’affirmer sans que cela se fasse au détriment des autres. Car dans l’aïkido, il n’y a pas de compétition, pas de vainqueur ou de perdant, et donc pas d’échec. « L’absence de compétition est très adaptée à ceux qui sont soumis en permanence à la concurrence, les enfants à l’école, les adultes dans leur travail. D’ailleurs, les Dan ne sont pas décernés à l’issue de combat où l’un des participants l’emporterait sur l’autre mais uniquement en vue de marquer et officialiser les qualités techniques et mentales du pratiquant. Même chose pour les ceintures de couleur (blanc, jaune, orange, vert, bleu, marron) qui « servent à démontrer à l’aïkidoka, le pratiquant, qu’il progresse plutôt qu’à lui donner un bon point ou à lui montrer qu’il est supérieur aux autres ».
Souvent appelé « art de paix », l’aïkido a cela de particulier que ses techniques visent non pas à détruire ou vaincre l’adversaire mais à faire que son attaque soit vaine, à réduire sa tentative d’agression à néant. « Il doit s’apercevoir de lui-même qu’il est vain d’attaquer ». Tout est donc basé sur le contrôle de soi, de son corps et de son mental, sur le respect du partenaire et sur la discipline. « Nous travaillons pour nous-même mais grâce aux autres, la progression ne se fait pas au détriment de quelqu’un mais avec quelqu’un. »